Chacun tenant un rôle (représentants des jeunes, des Etats industrialisés, des Etats en développement, des ONG et des entreprises), ils se sont retrouvés autour de 26 tables de négociation modérées par des représentants, fictifs, de l’UNESCO.
Les tables de négociation étaient réparties selon 6 thématiques :
- Education en situation d’urgence;
- Education inclusive des minorités;
- Education inclusive des enfants handicapés;
- L’égalité des genres dans l’éducation;
- L’éducation tout au long de la vie;
- La qualité de l’éducation.
Pendant une matinée, ils se sont donc mis dans la peau de négociateurs internationaux et ont défendu leurs intérêts, tout en gardant à l’esprit les objectifs communs à atteindre pour faire progresser le droit à l’éducation. Chaque table est parvenue à adopter plusieurs résolutions qui répondent aux enjeux actuels de l’éducation dans le monde. Parmi celles-ci:
- Adapter les programmes scolaires car ces derniers sont trop centrés sur une culture et ne facilitent pas l’ouverture d’esprit des enfants
- Développement des programmes de sensibilisation pour motiver les détenus à s’inscrire dans les classes que les Etats s’engageront à ouvrir. Les entreprises proposent des crédits-formations pour les détenus intéressés.
Un livret reprenant l’ensemble des résolutions sera édité dans les semaines à venir.
L’après-midi a été consacrée à une session plénière : les ambassadeurs désignés des tables de négociation sont montés sur scène pour présenter leurs réflexions et partager leurs résolutions, sous le crayon de Chaunu. |